Qui se rappelle aujourd’hui que les 2/3 des étoiles visibles à l’œil nu portent des noms d’origine arabe ? Rigel, Bételgeuse, Aldébaran, Altaïr…

Ces noms majestueux sont le fruit millénaire d’un dialogue fertile et respectueux entre savants orientaux et occidentaux. Cette présentation retrace la formidable aventure de quelques-unes de ces mystérieuses appellations célestes à travers l’histoire d’une astronomie alors partagée entre Levant et Ponant. Entre Ptolémée et Al-Kindi, elle est aussi l’occasion d’une petite initiation à cette langue profane et sacrée, dont nous avons tant hérité.